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Titre :Chanson d'adieu
Compositeur(s) et-ou auteur(s) :Privas, Xavier
Interprète(s) :Privas, Xavier
Genre :Café-concert
Fichier audio :
Photo(s) :Photo
Support d'enregistrement :Disque
Format :27 cm aiguille (enregistrement acoustique)
Lieu d'enregistrement :Paris, France
Marque de fabrique, label :APGA
Numéro de catalogue :1423
Date de l'enregistrement :1906-12
Instruments :piano acc.
État :Exc++
Vitesse (tours/minute) :87,3
Matériel employé au transfert :Garrard 401, SME 3012, pointe 2,0ET sur Stanton, Elberg MD12 : courbe flat, passe-bas 2k, Cedar X declick, decrackle, dehiss
Date du transfert :03-11-2013
Commentaires :Texte du contenu ci-dessous.
Texte du contenu :Chanson d'adieu

Création : Mayol (1900) - reprises : Dickson, Xavier Privas - Éditeur : Arsène Gruny, Paris (1900)


La partition :

Je t’ai rencontrée un soir de décembre
Où tu te trouvais sans abri, sans pain
On avait fermé ta petite chambre
Et tu te mourais de froid et de faim

Je t’ai dit : Veux-tu que je te protège
Et fasse plus doux ton rude chemin ?
Sous tes pieds meurtris fondra l’albe neige
Ton œil attristé sourira demain !

Tu m’as regardé, craintive et tremblante
Tu m’as pris la main, tu m’as dit : Merci !
Et tu m’as suivi, l’âme moins dolente
L’esprit moins troublé, l’œil plus adouci

Je t’ai dit : Je veux que tu sois heureuse
Prends mes bras pour nid, pauvre oiseau blessé
Il faut oublier l’heure douloureuse
Qui vient de mourir avec ton passé !

Ton âme dormait, je l’ai réveillée
Et tu m’as aimé très sincèrement
Alors j’ai connu l’heure ensoleillée
Où, de par Éros, tout devient charmant

Puis, faisant de toi mon idole sainte
Je t’ai consacré mon cœur pour autel
Et, sur le bonheur dont tu semblais ceinte
Je t’ai fait serment d’amour immortel

Nous avons connu les jours de tristesse
Nous avons connu les jours de gaîté
Et j’ai cru que rien de notre tendresse
Ne viendrait troubler la sérénité

Mais voici qu’un autre a pris ta pensée
Et c’est à mon tour d’être malheureux
La joie a quitté mon âme blessée
Et mon avenir se fait douloureux

Je ne t’en veux pas et sois rassurée
Tu peux me laisser, si tu veux partir
La femme, vois-tu, doit être adorée
Même par celui qu’elle fait souffrir

Tu m’avais donné ton cœur en détresse
Tu me le reprends, tu gardes le mien
Merci de m’avoir offert ta jeunesse
Tu peux t’en aller, tu ne me dois rien !

Sois heureuse, enfant, jusqu’en ton vieil âge
Sur ton front je mets le sceau du pardon
Et de toi je garde, en précieux gage
Le cher souvenir d’avoir été bon !


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